Depuis des
années, des campements de Roms se créent illégalement dans nos communes,
dégradant bien souvent des terrains publics (stades, espaces verts,...) qu’il
faut ensuite remettre en état. Parfois, ce sont même des terrains privés qui
sont squattés !
Les maires
des communes concernées se plaignent dans la plupart des cas d’une
recrudescence des méfaits dans l’entourage de ces campements (cambriolages,
crimes, délits) et constatent souvent prostitution, travail des enfants,
mendicité, traite d'humains et retour de certaines maladies. Les responsables directs de cette situation alarmante ne sont pas les Roms eux-mêmes mais nos gouvernants UMP puis PS, aussi lâches et soumis à l'Union Européenne les uns que les autres.
En effet, en l’absence de politique migratoire nationale et parce que nos frontières sont totalement ouvertes, les Roms s'installent illégalement et dans l'impunité générale en France.
Ils sont souvent soutenus par des associations subventionnées par l’Etat, qui, en plus de les défendre, réclament accès gratuit aux soins, logement, emploi, constituant ainsi un appel d’air colossal pour une immigration Rom plus forte chez nous que n’importe où ailleurs en Europe.
Dans quelques mois, dès janvier 2014, il ne sera plus possible de reconduire à la frontière les Roms venus de Roumanie et de Bulgarie, parce que l'Union européenne l'impose et que le PS comme l'UMP l'ont voté.
Les Roms pourront ainsi en toute légalité circuler et s’établir sur le territoire européen non plus par milliers mais sans doute par centaines de milliers.
L’Union Européenne contraindra aussi la France à ouvrir l'ensemble de ses emplois aux Roms, alors même que le taux de chômage des Français est déjà dramatique!
Face à cette situation préoccupante et à la complicité de l'UMP et du PS, seuls Marine LE PEN et le FRONT NATIONAL proposent :
Le démantèlement des campements et
le renvoi des clandestins (sans prime de départ de 300 euros par personne, bien
sûr).
Le renforcement et l’application
réelle des sanctions contre toute atteinte à l’ordre public (criminalité /
délinquance autour des campements Roms).
Le refus de la libre circulation et
de l’ouverture des emplois aux Roumains, aux Bulgares et donc aux Roms.
L’engagement de la France de refuser
de voir Roumanie et Bulgarie adhérer à l’espace Schengen.
Le contrôle strict à nos frontières.
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